Les hommes politiques et les médias mainstream occidentaux ont longtemps dupé leur monde, en faisant croire à qui veut l’entendre que le parti politique palestinien Hamas, pivot ces dernières années de la résistance armée, contre l’occupant israélien, serait une organisation «terroriste» «fondamentaliste», « islamiste». Et de marteler : «tantôt proche des frères musulmans d’Égypte, tantôt apparenté à Daech (ISIS en anglais et EI en français) ; soit dit en passant, Daech fut créée par le Mossad-CIA-MI6, comme proxy, dans le sillage d’Al-Qaïda. L’EI, se bat toujours en Syrie contre Bachar et pour l’étoile de David et la bannière étoilée, tandis que le contribuable étasunien croit que son pays combat le terrorisme…
Pour preuve que Daech est un monstre terroriste, créé à la solde de l’Occident, pour mettre à terre les pays arabes, son sigle en anglais (ISIS) ou (Islamic State In Irak and Syria) est un clin d’œil au Mossad et une pale copie du sigle sioniste : Israel’s Secret Intelligence Service.
De la résistance palestinienne et des tentatives sionistes de l’étouffer
Daech possède tous les matériels de guerre anglo-américains-sionistes et il est financé par certains pays arabes du Golfe, «pour le bien d’Israël», selon Hilary Clinton, propos confirmés par l’ex-1er ministre Qatari Jassem Al thani…, (vidéos). Les porte- paroles d’Israël furent invités en vain, par les chaines satellitaires arabes, à produire une preuve, la plus infime soit-elle, impliquant les mouvements de la résistance (Hezbollah, Hamas, etc.), contre un pays quelconque, autre que l’entité sioniste. Par contre, le sionisme, dont nul n’en évoque jamais l’existence, comme s’il s’agissait d’une maladie honteuse, est un régime de colonisation sanguinaire, raciste, capable de tous les coups tordus, y compris envers ses alliés ; à preuve l’espionnage, à grande échelle, même de Chefs d’État, y compris des pays amis (Meckel, Sarkozy, etc.), avec le logiciel espion Pegasus, destiné à attaquer les Smartphones.
Hamas vient d’arracher le masque à Israël, laissant apparaitre le visage génocidaire de ce régime politique, pire à beaucoup d’égards que le régime nazi, auquel le sionisme talmudo-cabaliste a rajouté une dimension biblique, exacerbée par un espoir messianique nébuleux et dangereusement fanatique. Et c’est au nom de ces théogonies qu’un parano comme Netanyahou (ivre de versets talmudiques, à l’instar de centaines de milliers de sionistes comme lui) ne résiste pas à la tentation de faire couler gratuitement le sang, histoire de hâter la venue du Messie (et partant faire reculer son jugement personnel pour corruption), à certaines conditions, jamais remplies jusqu’ici : la quête d’une génisse rousse, exempte de défaut, pour pouvoir purifier l’autel des sacrifices, suivant un rituel bien défini par des Écrits où il est question : de cendres de la génisse, après sacrifice ; de bois de cèdre ; d’eau lustrale, recueillie par un enfant prédisposé à cet exercice de collecte du précieux liquide, etc. Dans l’univers sioniste clos, plutôt athée, ceux qui le composent ne croient pas généralement en Dieu. Toutefois ils prêtent foi au sacrifice d’une génisse, aux faux prophètes, aux faux messies, au cadastre biblique offrant sur un plateau d’argent une «terre promise», à un «peuple élu», etc. Des calembredaines débitées, pendant des siècles, à des goyim de plus en plus sidérés, à force de victimisation et de jérémiades sans larmes, devenues des sourires en coin, narquois, alors que les Judéens ne croient en rien ; ce qui fit dire au philosophe juif français Henri Atlan : dans le judaïsme point de trinité, ni de fils, ni de Saint Esprit, juste un Dieu, auquel personne ne croit…
L’effet de la propagande mensongère sioniste à atteint de tels sommets, qu’il est permis aux «enfants d’Israël», de jouer comme toujours sur le registre victimaire, pour diaboliser leurs adversaires, en les traitant notamment de : «terroristes» ; d’«animaux», etc., comme enseigné par le Talmud, sans respect aucun à ces bêtes nourricières de l’homme ; prenant le cas truculent et bestial des cabalistes, pour des généralités applicables à tous… En fait de mensonges, notons que la création de Hamas en 1987 fut certes applaudie par l’entité sioniste, pensant de la sorte affaiblir la résistance globale, incarnée à l’époque par l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine), avec pour chef de file le Fatah de Yasser Arafat. Voyant au bout du compte que le parti Hamas ne mordait pas à l’hameçon, en se lançant dans des guerres fratricides, fomentée machiavéliquement par l’occupant sioniste, celui-ci changea le fusil d’épaule, en jouant la carte de la négociation avec l’OLP, pendant que Hamas poursuivait sa radicalisation.
Pourtant, Israël usa toutes les ficelles de la séduction en vain, pour convaincre les dirigeants de Hamas de composer avec l’occupant, sans parler du recours à la répression sauvage (politique de la carotte et du bâton). Des épreuves de force, toujours présentées par les médias aux ordres comme des «ripostes» (jamais des initiatives d’agression d’Israël), au «monstre islamiste», dont ses membres sont déclarées «cibles légitimes», comme dans un tir aux pigeons ; en témoignent les assassinats des principaux fondateurs de Hamas et un nombre incalculable de ses cadres et militants, au même moment où Israël faisait fuiter des infox, relatives à une prétendue création de Hamas, par ses services. C’est cette information colportée aujourd’hui par un certain Joseph Borrel, en service commandé aux ordres du sionisme, comme beaucoup de ses acolytes de l’UE, pour discréditer davantage la cause patriotique de feu le Cheikh Ahmed Yacine, tétraplégique assassiné sur son fauteuil roulant par le Mossad.
Une juste cause d’un peuple qui vient, par son sens du sacrifice et sa détermination, de gagner la sympathie de la planète entière, après avoir dévoilé au grand jour la vraie nature génocidaire, sauvage et inhumaine du sionisme… En effet le fameux «Free, free Palestine» et le keffieh palestinien, déployés lors des manifestations planétaires, auxquelles y participent nombre de juifs orthodoxes, ne sont pas un simple slogan et un quelconque tissu, symbole de lutte. Ils évoquent désormais le mémento des morts, rappelant à l’humanité malade la fin prochaine du règne cauchemardesque de l’Occident collectif et son injustice criante, devant les plus faibles, en passe d’être heureusement neutralisée à temps, grâce au sursaut opportun des civilisations anciennes, déjà regroupées au sein des BRICS : Afrique du Sud, Chine, Russie, Inde, Iran, Égypte, Éthiopie, Arabie, Brésil, Argentine, etc., et encore deux bonnes douzaines de pays frappent au portillon.
Si cette infox de création du Hamas par l’occupant, présentait la moindre véracité, elle aurait certainement été frappée du sceau «ultra secret», sans que l’opinion publique ne puisse s’en saisir et en tous cas jamais rotée aussi bruyamment par Joseph Borrel, Chef de la diplomatie européenne, déclarant souvent une chose et son contraire. Est-il besoin de rappeler la polémique impolitique, suscitée par l’objectivité peu diplomatique, du premier ambassadeur de l’UE, au sujet du «jardin européen» et de «la jungle du reste du monde» ; suivi d’un précédent plaidoyer du «droit d’Israël à se défendre», contre un peuple palestinien colonisé et enfermé, dans une prison à ciel ouvert, durant 75 ans. Maintenant que les carottes sont cuites, le monde sortant de sa profonde léthargie, Borrel implore Israël de se conformer aux résolutions de la CIJ, de cessez le massacre et le feu, après que l’UE ait défendu en rang serré le bourreau sioniste enragé, dans ses actions génocidaires, sans cesse renouvelées à Gaza. Aujourd’hui, la planète attend avec impatience le lancement des plaintes contre les complices d’Israël (USA, UK, France, Allemagne, etc.,) sans quoi, le risque est grand de voir le Sud collectif procéder à un boycott général des produits, de tous les pays occidentaux, en vue de mettre à genoux les économies solidaires avec Israël !
Ce blocus contre I‘entité sioniste s’impose, comme seul moyen de légitime défense solidaire, avec le peuple palestinien. Ce processus, initié par les Houthis au Yémen, porte déjà ses fruits, avec une augmentation de l’ordre de 40% des tarifs de fret et des assurances, avec des répercutions d’autant sur la valeur des produits, du fait du déroutement des navires par le cap de Bonne-espérance (Afrique du Sud). Quant à la résistance globale en lutte, pour la récupération des terres occupées au Levant dans la : plaine de la Bekaa (Liban) ; au Golan (Syrie) ; une grande partie kurde occupée du coté irakien et syrien, avec une présence insoutenable des USA et des bombardements intermittents d’Israël, quand ça lui plait, comme si les tueries des Palestiniens ne lui suffisent pas. Faisons confiance au courage et à la résilience légendaire des peuples (et non à leurs dirigeants majoritairement corrompus), de ne pas laisser le champ libre à l’ennemi. La résistance continuera à faire parler la poudre avec des succès majuscules, comme hier elle livra des guerres à l’ennemi sioniste avec des pierres (Intifada), sans se lasser. C’était le seul moyen à l’époque de faire valoir son existence sur sa terre, menacée par des colons sionistes morveux et voleurs, justifiant l’occupation du territoire d’autrui, par un simple slogan : «une terre sans peuple, pour un peuple (élu) sans terre». C’est ainsi que le sionisme compte rééditer la Nakba de 49, avec le transfert ailleurs de deux millions de Gazaouis, vers d’autres pays arabes, voire d’Afrique, selon les derniers plans de Netanyahou, à faire exécuter par Joe Biden and Co., commandant en chef du vaisseau amiral de l’Empire occidental, complètement sionisé.
Les pays les plus puissants se sont généralement forgés dans la résistance
Quand on pense aux pays qui obtinrent leur indépendance de haute lutte (Vietnam, Cuba, Algérie, Afrique du Sud, etc.), on ne peut s’empêcher de les comparer à deux autres exemples de résistances historiques, entre cousins colonisateurs : le soulèvement de Georges Washington et ses milices, appelés alors «les Fils de la Liberté», livrèrent une guerre de 8 ans (1775-1783) à l’Angleterre, en vue de la libération de l’Amérique, «au nom du droit naturel à l’insurrection légitime, y compris dans la pensée politique commune aux Lumières britanniques…» Furent-ils des terroristes ? Du reste, lors de la signature du traité de paix, les résistants américains, ne se firent pas faute de rappeler aux colons britanniques, le droit légitime à se défendre. N’est-ce pas aussi le combat pour la Liberté des Palestiniens ? Lorsque Charles de Gaule lança son appel de juin 1940 aux Français, à prendre les armes, pour libérer la France de l’occupant allemand, fut-il traité de terroriste ? De tels exemples, multiples à travers l’histoire, montrent bien que la partialité est partie intégrante de la psyché de l’Occident politique. Celui-ci veut à tous les coups gagner, à pile et à face et voir son vis-à-vis perdre sans coup férir.
Les USA, dont autrefois l’exemple a suscité tant d’espoirs chez les peuples en lutte, piétinent aujourd’hui les propres principes instaurés par les pères fondateurs de l’Amérique, qui affirmaient déjà en 1776, dans une déclaration gravée dans du marbre, que : «les Colonies-Unies d’Amériques (devenues ultérieurement les États-Unis, Ndl’A) ont le droit d’être des États libres et indépendants» ; propos réaffirmés au lendemain de la Seconde guerre mondiale, par le Potus Franklin D. Roosevelt, en direction des autres nations, en ces termes : «l’ère de la colonisation est close. Ces contradictions (les USA n’en sont plus à une près), entre les paroles et les actes, et autres traités sur le partage du Moyen-Orient (Cf., conférences de San Remo, de Sèvres, etc.), ne confortent-elles pas l’opinion de plus en plus répandue, dans le Sud global, qualifiant désormais l’Occident d’espace politique peuplé d’«États voyous», de «politiciens menteurs, vivant dans des «sociétés aux valeurs majoritairement décadentes». Le penchant récent des pays africains, latinos, etc., pour la Russie et la Chine n’est pas le fruit du hasard, tant l’Occident brule à petits feux ses vaisseaux, sans apparemment s’en rendre compte.
Si les politiques et les médias occidentaux assimilent les résistants arabes, qui luttent pour la récupération de leur terre, pour des terroristes (Hezbollah libanais, Hamas palestinien etc.), Tsahal (qui massacre des enfants et des femmes, faute de pouvoir se mesurer aux combattants de la résistance, sur le champ d’honneur) serait sans doute une armée de bons Samaritains ; autant que peuvent l’être les recrues des organisations sionistes de : l’Aman, le Shin Bet, le Mossad… Des organisations de la terreur et une véritable armée civile, comptant quelque 150 000 Sayanim dans le monde, encartés dans des milliers d’organisations sionistes et incrustés dans tous les rouages des institutions occidentales et internationales : ONU, UE et même la Ligue arabe et l’Organisation de la Coopération islamique, n’y échappent pas, grâce «…aux charmes de nos femmes, la brillance de notre argent et l’exercice de notre influence…» ; Cf., la déclaration solennelle du B’nai B’rith, organisation maçonnique ouverte uniquement aux sionistes. Exit tous les Goyim, même les plus proches du sionisme.
Le slogan secret du Mossad «par le mensonge tu vaincras» reste inconnu pour le commun des mortels. Néanmoins, il est révélateur d’une seconde nature, inculquée par le Talmud, aux auxiliaires sionistes de cet instrument de la terreur et sa capacité d’infiltrer tous les cercles, puisque les Sayanim sont partout : omnipotents ; omniprésents et omniscients ; ils sont porteurs de diverses nationalités, de tous les pays d’accueil, tout en gardant leur identité propre et l’espoir messianique judéocratique intact. Cf. l’ouvrage du juif franco-marocain, Jacob Cohen, intitulé : «Le printemps des Sayanim». Aussi, c’est avec un art consommé de cacher les couleuvres que les sionistes dissimulent les vraies origines de cette «armée la plus morale du monde», se gardant toutefois de dire qu’elle est issue d’anciennes organisations terroristes sionistes, dont une partie active toujours dans le secret, depuis les débuts du siècle dernier : Lehi, Irgoun, Haganah, Betar, etc.
Ces organisations terroristes, sans uniformes ni insignes, ont repris du poil de la bête à l’étranger, après avoir semé la terreur, au sein des populations palestiniennes, suite à la création de l’entité sioniste en 1948, pour asséner tous les coups tordus à des contestataires européens du suprémacisme sioniste. Sous les proscriptions arbitraires de ces organisations secrètes, une partie des familles palestiniennes furent condamnées à l’errance, à travers le monde (non par un arrêt exilique de Dieu, comme ce fut le cas des juifs, mais…) par la volonté du sionisme !) À entendre certains sionistes, du genre Attali, prétendre que la mémoire serait juive (comme si les Goym en étaient dépourvus), par quel miracle le «Peuple élu» oublia-t-il les époques où il fut sans cesse persécuté (pour quelles raisons ?), par tous les goyim de la création, depuis les Babyloniens, jusqu’aux Allemands, en passant par les Égyptiens, les Romains, les Ibériques, etc. ? Seuls les Arabes ont épargné des Pogroms habituels aux juifs, sans doute, en raison des versets du Coran, appelant le croyant au devoir de soumission à Moussa (Moïse) et Aissa (Jésus), en tant que messagers d’un Dieu unique aux trois religions…
L’énumération serait trop longue, si on devait rajouter les guerres fratricides, entre Judéens et Israéliens, Pharisiens et Sadducéens, Zélotes vs Esséniens (ceux-ci bien que pacifiques, se vouant à la théologie et la spiritualité, furent quand même anéantis par les conflits, comme le furent les deux frères ennemis, Jacob et Esaü, arrivant à croiser le fer, pour un plat de lentilles ; seuls des occasions de complots ensemble pouvaient rassembler deux camps juifs, comme ce fut le cas de l’entente entre sectes, lors de la mise à mort de Jésus. Il est à croire aussi que ce serait le complot, contre Dieu et les Goyim, qui aurait permis depuis des siècles cette soudure invisible entre juifs, porté par l’ambition de dominer le monde, pour le mener vers le chaos (ordo ad chaos), prédit par les Ecritures. Mais c’est certainement dans des pays arabes où l’ingratitude du «peuple élu» est la plus manifeste (Infra) ; de l’aveu même de congénères juifs orthodoxes abrégé en un discours du Grand rabbin orthodoxe, David Weiss, Président de Naturei Karta ; un phénomène d’ingratitude à l’égard des Arabes, en dépit de l’asile et la protection qu’ils reçurent, déjà au commencement de leur histoire, il y a environ 3000 ans lorsqu’ils furent chassés de Babylone, et ce jusqu’à la fin de leur errance en 1948, en Palestine ; lorsque l’Agence Juive Mondiale négocia avec Adolphe Jacob Hitler le contrat de transfert (havaara en hébreux), des juifs allemands vers la Palestine. Oui ! Avec Adolphe Jacob Hitler et la polémique provoquée en direction du ministre russe Serguei Lavrov, relative à l’origine juive du Führer, était un simple écran de fumée, pour étouffer une affaire aussi encombrante, de nature à faire remonter à la surface quelques souvenirs et beaucoup de mensonges. Il semble, selon l’écrivain juif canadien, Henry Makow (voir ses livres sur les Illuminati), seulement ceux qui refusèrent la havaara, connurent le sort funeste que l’on sait et rarement, en raison de leur «origine juive», ou cette pseudo «haine des juifs», comme elle est généralement serinée par les Goebbels contemporains…
Sous d’autres cieux, le sinistre Betar (organisation terroriste) sévit encore en France, où le juif français antisioniste, feu Robert Faurisson, Professeur d’université de son état, catalogué de négationniste de la Shoah, gouta à toutes les persécutions et humiliations, infligées à cet intellectuel du troisième âge, jusqu’à sa mort. D’autres sommités avant lui, dont le penseur français Roger Garaudy, pour avoir formulé le même avis, le betar lui montra de quel bois il est fait, en lui fermant les portes au nez, de toutes les maisons d’édition de France, outre de lui avoir fait subir toutes sortes d’avanies. Beaucoup, comme eux payèrent le prix fort (le Père Régimbald et son compatriote canadien le journaliste Serge Monast, l’écrivain américain Douglas Reed, le suédois Yuri Lina, l’écrivain Hervé Ryssen, le député belge Laurent Louis ; le parlementaire britannique Galloway, l’humoriste français Dieudonné, l’écrivain Alain Soral) ; tous n’ont pas plus aux sionistes ou furent catalogués d’«antisémites» ; terme délétère, utilisé à tort et à travers, depuis que cette engeance s’est emparée des commandes de toutes les institutions des pays d’accueil occidentaux et en particulier les USA, la France, l’Allemagne, la GBR… Ce qui fit dire à juste titre, à Michèle Sibony, militante française pour la paix, juive elle-même : «l’antisémitisme cessera lorsque les juifs deviendront comme tout le monde, des sujets soumis à la loi».
Du juif errant au sioniste conquérant, triomphant, jubilant…
Le «juif errant», puni par Dieu pour ses transgressions de la morale divine et celle des hommes, selon les Écritures, fut trimballé pendant des siècles dans les caravanes arabes, depuis le Yémen, puis de l’Arabie heureuse, jusqu’aux confins de l’Andalousie, après les grandes épopées arabo-musulmanes, du Maghreb à l’aller, et au retour lors de la reconquista… Ce peuple finira un jour, cédant aux chants des sirènes sionistes, en Palestine arabe, dans laquelle non seulement il occupera la place des Arabes autochtones, mais in fine forcera environ un quart d’entre eux à l’exil ; ajoutons qu’à peu près autant passera de vie à trépas, après le terrible génocide de 48 (Nakba non jugée à ce jour), avec la complicité des forces britanniques occupantes. Ces dernières fermèrent les yeux sur cette forfaiture.
Après coup un nombre conséquent restera sur place en Palestine, lequel sera divisé en deux parties : l’une, constituée par des Palestiniens, appelés «Arabes de 48», accepta de servir l’occupant et d’avaler des couleuvres sionistes, à longueur de temps ; la seconde partie subira le joug et le sort de réfugiés, majoritairement dans des camps de l’ONU (UNRWA), créés à cet effet, il y a 75 ans, pour que les grandes puissances se donnent bonne conscience. Mais beaucoup d’entre eux rejoindront la résistance clandestine, telles : L’OLP et ses différentes branches ; Hamas et sa branche armée Azzedine El Qassam (du nom du martyr, fondateur du parti). Cette branche armée compte dans ses rangs nombre de chefs actuels de la résistance armée, dans le fameux «métro de Gaza», parmi lesquels les deux commandant en chefs : Yahia Senouar et Mohamed Daif, nés à Khan Younes, puis passèrent chacun une vingtaine d’années dans les geôles sionistes… Ce camp de réfugiés, connu pour avoir subi, comme tant d’autres camps, à chaque incursion de l’armée sioniste, le martyre, au prix de milliers de martyrs, massacrés à la moindre saute d’humeur des colons ultranationalistes Khazars, durant des décennies…
Quel qualificatif donner à la terreur imposée par des colons armés, sur les Palestiniens désarmés et leurs biens déclarés vacants, après leur départ forcé de leur terre, sinon de terrorisme d’État, dans toute son horreur… Terrorisme : voilà un mot rendu obligatoire, dans la sémantique sioniste, et ânonnée comme une leçon de catéchisme de persévérance, par des hommes politiques occidentaux, initialisés à l’effet de nuire à la résistance palestinienne et au monde arabe et musulman, en général. Mais la revanche palestinienne s’exprime désormais sur le champ de bataille, au bout du viseur de la fusée El Yacine ; arme de fabrication locale, usinée dans les tunnels de Gaza. Ces armes, adaptées à la guérilla urbaines et les combats rapprochés, réduisirent en cendres, lors des trois mois d’opération «déluge d’Al Aqsa», plus de 1200 véhicules blindés ; chaque frappe étant filmée, par un cameraman de Hamas, vidéos à l’appui, dont un bon nombre de markavas, autour desquelles le silence est total, et pour cause : une estimation du bilan des morts, avancée par le général de division, jordanien à la retraite, Fayez El Douiri, en sa qualité de consultant de la chaine qatarie Al Jazeera, se situe entre 4800 à 5000 soldats israéliens, en considérant une moyenne de 6 soldats, par véhicule blindé touché (chars, transport de troupes, etc.). Le nombre est à multiplier, au moins par deux, quant aux blessés (10 000 dont certains portent des blessures graves.)
Etant réduite à l’impuissance par la résistance (dont les éléments, un maximum de trois, n’apparaissent que pour tirer et se replier, dans leurs caches souterraines respectives, ou au milieu des décombres des immeubles), l’armée d’occupation se venge sans rougir sur les populations civiles, fuyant l’horreur des bombardements, auxquels nul quartier de Gaza n’y échappe : les militaires sionistes au sol, leur indiquant des couloirs labyrinthiques, menant à des impasses, de manière à les piéger en masse, dans des prétendus «zones de sécurité», augmentant ainsi le nombre de victimes civils sans défense, de 250 à 300 morts/jour ; nonobstant le droit et les conventions internationales de l’ONU, otage de l’empire de US-Sion.
Notons que toutes les théories politiques et sociales, devenant de la philosophie pour gens riches, instruits et s’ennuyant à mort a fortiori, furent imposées suivant la vision de la doxa talmudo-cabaliste, voulant tailler en pièces toute forme de nationalisme des autres nations, devenu monopole (entre-soi) exclusif des «enfants d’Israël». Le nationalisme fut liquidé et remplacé d’abord par le cosmopolitisme proto-sioniste, comme ils réussirent à achever le christianisme, avant que le tour de l’Islam n’arrive, après le dépeçage de l’empire Ottoman en 1916, par deux ministres franco-britanniques Sykes et Picot. L’Islam est désormais dans le malaxeur de la réinitialisation talmudique, avec des «interdits», à n’en plus finir, et des ouvertures grotesques charriées bientôt par le fameux projet NEOM, du prince héritier Mohamed Ben Salmane, dit MBS. Un autre Las-Vegas en terre d’Islam où jeux de hasard, consommation d’alcool et autres mélanges des genres sont en perspective. Des vices non seulement blâmables par la religion, mais répréhensibles par la Loi, dans des lieux publics.
Rappelons que le cosmopolitisme avorta dans l’antiquité, mais il sera remis au goût du jour au XVIIIe, pour finalement tomber entre les mains des mondialistes actuels, dont les représentants du «mal absolu de l’humanité» s’activent aujourd’hui au sein de milliers de think tanks et autres organisations cryptocratiques dont le public ignore tout, du genre : Bilderberg ; Cercle à Paris ; Club de Rome ; CFR ; Trilatérale ; Forum mondial de Davos, animé par un certain Klaus Schwab and Co., à l’œuvre pour le «bien des bipèdes», souvent victimes de pandémies incompréhensibles, dont le «covidisme» fut traité avec des vaccins suspectés de tous les travers, par l’opinion publique.
L’humanité commence à s’étirer, voulant sans doute secouer sa longue torpeur et mettre le holà à ce manège en «isme», puisant ses racines davantage dans la mythologie biblique (plutôt talmudique), devenue une nouvelle constitution (secrète) adoptée par l’Occident collectif, au profit d’une secte de falsificateurs détraqués, en quête de domination du monde. Par des tours de passe-passe, ces troqueurs de bible, en échange d’un talmud griffonné de mains de mortels rabbins, recrutent leurs ouailles dans les synagogues de Satan, dénoncées en leur temps par les apôtres, et leurs adeptes méphistophéliques dans des cryptes (appelées pudiquement des camping), du genre Bohemian grove (Californie), où les invités par centaines parrainées, en voient de toutes les couleurs, dans les nouvelles Sodome et Gomorrhe des États-Unis.
Notons que l’«Israël du Nouveau Monde, fut évoqué par certains pères fondateurs, au temps des Provinces Unies d’Amérique (1er nom de l’État américain). Ils étaient au nombre de 55, réunis à la Convention constituante de Philadelphie, parmi lesquels des juifs riches et influents : Benjamin Franklin, John Rutledge, Nataniel Gorham, David Breadley, Jacob Broom, Jonathan Dayton, Robert Sherman, Abraham Baldwin, etc. À cette catégorie, il y a lieu de rajouter pas moins de 22 chrétiens protestants, majoritairement proto-sionistes, avant la date et la lettre. Les chrétiens protestants seront remplacés ultérieurement par les «protestants évangélistes», à partir des années 60 ; sans compter un paquet de francs-maçons, à leur tête, le plus illustre d’entre eux : Georges Washington, premier président des USA.
Ceci pour comprendre le syncrétisme fusionnel entre le sionisme et les classes politiques occidentales et plus particulièrement aux USA, où les élections sont une affaire de gros sous, ce qui explique le rôle déterminant du lobby juif dans toutes les élections. Chaque membre d’un parti politique (démocrate/républicain) ou chaque président, indépendamment de son camp politique (Bush père et fils, Clinton, Obama, Trump, Biden), se sent dans son for intérieur sioniste et il a besoin de le faire sentir et ressentir vivement au lobby sioniste… Et le phénomène est d’autant plus remarquable que des élections approchent et les enjeux importants, comme en ce moment critique. Dès lors, appartient-il à chacun d’afficher ouvertement son appartenance au sionisme, comme ce fut le cas de Joe Biden, au mois d’octobre 2023, à Tel-Aviv, lors de la déclaration de guerre totale à Hamas par Israël… Candidats à l’élection et leur parti respectif d’un côté, les contributeurs et les donateurs de l’autre, se livrent à un véritable show où les enjeux tournent moins autour de projets de politique, économique et de sociétés que de plaire à l’establishment sioniste.
Ainsi, forts de cette aura auréolée, en tout lieu et circonstances, les sionistes juifs, croient avoir expulsé Moise du royaume des cieux, en prenant sa place, pour faire le plus mauvais usage des «dix commandements», les transformant en un cadastre hors-la loi. C’est du reste pour se venger de Dieu, qui prononça contre eux un Décret exilique, qu’ils jetèrent leur dévolu sur l’Occident global : USA, GB, France, Canada, Italie, Espagne, Australie, etc., pour faire avancer leur agenda athée et à tout le moins agnostique, au plus offrant… Depuis la proclamation officielle du sionisme, à la fin du XIXe Siècle, ses adeptes sont devenus les maitres du jeu, du feu, des flammes et de l’enfer sur terre, dans l’Occident protestant et surtout athée ; un ensemble politico-économique rehaussé depuis 1949, par les forces de l’Otan, pour clouer le bec à tout pays contestataire de l’ordre Anglo-US-Sion, prévalant dans l’Empire… Avec la complicité de l’Occident perfide et son aide invariablement inconditionnelle, Israël se venge cyniquement de tout, de Dieu et même de l’UNRWA ; une petite agence de l’ONU pour les réfugiés, avec l’intention de lui faire couper aujourd’hui les contributions financières, alimentaires et vestimentaires, octroyées par les pays donateurs, au prétexte qu’elle aurait prêté main forte à Hamas. Cependant, fort de son impunité, Israël accuse des parties, mais sans daigner fournir des éléments de preuves, à l’appui de sa plainte, contre 12 des employés de l’agence onusienne qui seraient, selon les allégations de l’entité sioniste, impliqués dans les attaques du 7 octobre. L’autre tort de l’UNRWA est d’avoir osé dénoncer des tirs de chars de l’«armée la plus morale du monde», sur un centre de formation à Khan Younes (Gaza), où l’ONU a déploré, le 24/01/2024, la mort de 13 personnes et une cinquantaine de blessés (femmes, enfants et vieillards), parmi les familles sans abris ; utilisant les dépendances du centre onusien comme refuge, contre les bombardements sionistes…