Comme le souligne le célèbre mathématicien russe Igor Shafarevich dans son essai sur la question juive, les juifs aiment s’attribuer le mérite de presque tout, alors qu’en réalité, ils n’ont inventé ou contribué que très peu à l’histoire moderne et n’ont pu faire ce qu’ils ont fait qu’en utilisant les outils qui leur ont été donnés par les cultures d’accueil dans lesquelles ils ont vécu :
«Je voudrais attirer l’attention sur le fait que les juifs sont actifs et souvent utiles dans leurs activités, mais qu’ils ne peuvent, pour ainsi dire, que «travailler sur un champ déjà labouré». Par exemple, Mendelssohn, Mahler et Berg étaient sans aucun doute des musiciens de talent. Mais ils n’ont pu s’exprimer que lorsque la musique occidentale a été créée – par Gabrielli, Schutz, Bach, Haydn, etc. Ou encore, en Russie, les juifs ont été très actifs au cours des derniers siècles (nous ne discuterons pas de la question difficile de savoir si c’était pour le bien ou au détriment des autochtones), mais en tout état de cause, cela n’a été possible qu’après le labourage du pays et la création de l’État russe».1
La plupart de leurs grands hommes, tels que Karl Marx2, Sigmund Freud,3, Franz Boas4, Albert Einstein5 et Stephen Jay Gould6 se révèlent être des ratés ou des fraudeurs7. Et en ce qui concerne leurs prétendues inventions, la plupart d’entre elles ne sont pas à eux. De fait, selon l’écrivain et universitaire Karl Rad, éditeur et propriétaire de Karl’s substack. Everything about Jews and Judaism, «les juifs ont la fâcheuse habitude de prétendre qu’ils ont créé/inventé des choses alors que ce n’est pas le cas, puis de ne jamais corriger cette affirmation, qui devient alors courante et «acceptée comme un fait»».
Voici une liste de quelques-unes des choses qu’ils prétendent faussement avoir inventées : sous-marin nucléaire, Wi-Fi, Week-end, train électrique miniature, Prozac, Aciclovir (médicament antiviral), appareil photo instantané, télécopieur, préservatif en caoutchouc, roulement à rouleaux coniques, acier inoxydable, ampoule à incandescence, laser, wagon réfrigéré, jeu vidéo, cafétéria, Barbie, semaine de sept jours, homéopathie, scotchguard, hélicoptère, café soluble, blue-jeans, dialyse rénale et appareil de dialyse rénale artificielle, talkie-walkie, rouge à lèvres, stimulateur cardiaque, moteur électrique, télévision couleur, lampe de poche/torche, biochimie, opérette, chirurgie orthopédique moderne, technologie d’étalement du spectre par saut de fréquence, soutien-gorge, chimiothérapie, irrigation au goutte-à-goutte, vitamine C, automobile/voiture, terme «contre-choc cardiaque», acier inoxydable, microbiologie et bactériologie, streptomycine, interféromètre, sous-marin à propulsion nucléaire, machine à coudre, tube électronique à vide poussé, magasin de rabais, satellite géosynchrone, pile au mercure, fibre optique, hologramme, 6-mercaptopurine (traitement de la leucémie), etc.8
Qu’en est-il de leurs listes de réalisations ? Peut-on s’y fier ? Non, répond Karl Radl. Les listes de réalisations juives peuvent difficilement être considérées comme valables étant donné qu’elles ne représentent rien d’autre qu’un stratagème rhétorique de la part des juifs pour – comme indiqué précédemment – prouver l’affirmation selon laquelle la persécution juive a été provoquée par la simple jalousie de la supposée «supériorité des juifs» par rapport aux Gentils. (…) Ainsi, nous pouvons voir que les «listes de réalisations juives» sont tout simplement dénuées de sens.9
Cela inclut-il le nombre disproportionné de lauréats juifs du prix Nobel ? On ne peut pas bluffer avec cette récompense. Le prix Nobel est une affaire sérieuse. Ils en ont donné un à Bob Dylan, n’est-ce pas ? Or, selon le scientifique suédois Jan C. Biro, Md, Ph. D., c’est plutôt grâce aux compétences juives en matière de marketing et de réseautage qu’au mérite :
«Le testament d’Alfred Nobel (le document fondateur du prestigieux prix Nobel) demande «… qu’en décernant les prix, on ne tienne pas compte de la nationalité des candidats, mais que le plus méritant reçoive le prix…» Ce souhait exprimé est largement ignoré par la Fondation Nobel, qui attribue un nombre excessif de prix à des scientifiques juifs (qui appartiennent traditionnellement à «une seule nation», même s’ils vivent dans différents pays du monde), créant ainsi un important biais juif (J-bias). Ils décernent le prix 137 fois plus souvent à des candidats juifs dans le monde, et 26 fois plus souvent à des candidats américains que ce que l’on pourrait attendre compte tenu de la taille de la population juive. La proportion de lauréats juifs a plus que doublé (multiplication par 2,3) après la Seconde Guerre mondiale, en raison de l’explosion des prix partagés entre juifs et Gentils (multiplication par 8,8). Les QI plus élevés et le choix préférentiel de la science comme profession chez les juifs n’expliquent pas entièrement ce biais J. Il est plus probable qu’un réseau personnel étendu et bien organisé de type marketing parmi les scientifiques juifs, ainsi que l’attitude égalitaire-libérale et nonchalante des représentants suédois du donateur, soient à l’origine de ce phénomène regrettable. Il est suggéré que la communauté scientifique mondiale persuade la Fondation Nobel de suivre les règles du testament de Nobel conformément à la loi suédoise».10
En d’autres mots, comme l’explique le blogueur «Academic Agent» dans un excellent article intitulé «The Myth of High Jewish IQ» :
«Les prix Nobel ne sont pas une institution neutre ; ils ne sont pas sélectionnés de manière ouverte, mais sont étroitement contrôlés par un comité. Ils ne démontrent rien d’autre que ce que le pouvoir sélectionne. L’affirmation selon laquelle les prix décernés par cet organisme constituent une mesure objective de quoi que ce soit doit donc être rejetée».11
Mais les juifs d’Israël ne sont-ils pas plus intelligents que la plupart des gens ? Il faut de l’intelligence pour transformer un désert en oasis, n’est-ce pas ? En effet, mais selon une étude de Richard Lynn et Tatu Vanhanen, le QI moyen des juifs d’Israël étant de 94, ce n’est pas autant l’intelligence que l’argent et l’aide extérieure qui ont joué un rôle déterminant12. Comme le dit Lenni Brenner, l’auteur juif du livre «Zionism in the Age of Dictators», sans l’aide d’Hitler, dans les années 30, il est très probable qu’Israël n’existerait pas13. Et sans l’aide financière et technique massive des contribuables blancs américains et allemands, le coucou juif qui a pondu ses œufs dans le nid des Palestiniens ne pourrait pas survivre très longtemps.
Comment est-ce possible ? La plupart des gens pensent que les juifs sont très intelligents et que les médecins juifs sont les meilleurs du monde. De fait, les juifs sont considérés comme supérieurs dans tout ce qu’ils font. C’est du moins ce qu’ils prétendent eux-mêmes. Le célèbre Charles Murray, par exemple, dans un article intitulé «Le génie juif en 2007»14, attribue l’intelligence supérieure des juifs au fait «heureusement irréfutable» que les juifs sont «le peuple élu de Dieu». Est-ce la raison pour laquelle ils sont admis en si grand nombre dans les meilleures écoles du pays ?
«Non», déclare Ron Unz, propriétaire juif et rédacteur en chef de l’un des sites web conservateurs les plus influents des États-Unis, The Unz Review, «étant donné les piètres résultats des étudiants juifs aux tests d’admission, il est totalement absurde et ridicule qu’ils soient admis en si grand nombre dans les universités d’élite des États-Unis. (…) Ils sont apparemment admis à un taux 1000% plus élevé que les étudiants blancs tout aussi méritants sur le plan intellectuel», alors que les étudiants blancs sont 30 à 40 fois plus nombreux que les étudiants blancs ? Le népotisme n’y serait pour rien, selon Ron Unz. Le chantage médiatique joue un rôle indéniable. De fait, dès que le nombre de juifs admis baissent, les médias crient au scandale en évoquant l’antisémitisme. Mais la cause première est sans aucun doute la victimisation shoatique. Dire que sa grand-mère a été gazée à Auschwitz est le sésame qui les fait admettre en masse.
Ceci étant dit, n’oublions pas que pendant de nombreuses années, les juifs, y compris les ashkénazes prétendument super intelligents, n’avaient pas accès aux meilleures écoles du pays (Ivy League) parce qu’ils n’étaient tout simplement pas assez intelligents, comme le montraient leurs piètres résultats aux tests SAT. Tout cela a changé lorsque, au début des années cinquante, un juif astucieux de Brooklyn nommé Stanley Kaplan a trouvé un moyen de subvertir le système. L’idée était simple. Après chaque classe diplômée de son école de préparation aux tests, Kaplan invitait à une fête tous les étudiants qui avaient passé le test, à condition qu’ils lui posent une question dont ils se souvenaient. Lorsqu’il a vendu son entreprise dans les années 70, il pouvait donner à ses étudiants, avec une précision croissante, les réponses à la plupart des questions du test. En conséquence, les résultats des juifs au test SATS sont montés en flèche, tout comme les admissions des juifs dans les meilleures écoles du pays.15
Ironiquement, le type d’individus que le test était censé exclure parce qu’ils n’étaient pas assez intelligents «a fini par utiliser le test pour s’emparer des universités d’élite américaines. Une fois que cela s’est produit, ce n’était qu’une question de temps avant qu’ils ne s’emparent également de la culture américaine, ce qui s’est produit au milieu des années 70, au moment même où l’opposition au SAT atteignait son paroxysme»16, note le journaliste Sean Tite. Et, «une fois qu’un nombre suffisant de juifs sont devenus professeurs dans les écoles de l’Ivy League, précise J. Tite, ils ont commencé à montrer une préférence extrême pour d’autres juifs dans les processus d’embauche et d’admission, au point où les écoles «d’élite» ne sont guère plus que des Shivas juives»17. Heureusement, le système qui permettait aux juifs de tricher a pris fin en 1977 lorsque David Halperin, un sénateur juif de Brooklyn, qui avait lui-même triché, a présenté le projet de loi «truth-in-testing» ayant rendu publiques les questions du SAT. Ce faisant, personne par la suite n’a bénéficié de ce moyen pour tromper le système.18
Cet épisode de tricherie soulève un certain nombre de questions : si l’on suppose que la plupart des candidats étaient ashkénazes, puisqu’ils représentent 85 à 90% de la population juive, on peut se demander, s’ils sont aussi intelligents qu’ils le prétendent, pourquoi n’ont-ils pas été en mesure de passer les tests SAT, comme c’est d’ailleurs encore le cas aujourd’hui. Le népotisme à Harvard est-il par ailleurs plus important que ne le pense Ron Unz ? S’il était si fréquent à l’époque, pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ? Enfin, les juifs qui occupent aujourd’hui des postes de premier plan dans nos universités, nos médias, nos gouvernements et nos institutions méritent-ils d’y être en raison de leur mérite ou ont-ils triché pour gravir les échelons du pouvoir ? Dans quelle mesure ont-ils été aidés par d’autres juifs occupant des postes de direction ?
Au bout du compte, leurs fausses célébrités, leurs fausses inventions, leurs fausses listes de réalisations, leurs faux nombres de prix Nobel, leur fausse supériorité intellectuelle de même que leur statut de victime exemplaire ont-ils été militarisés tout simplement pour légitimer et faciliter leur domination sur les pays occidentaux ? Il semble bien que ce soit le cas19. Cela expliquerait pourquoi l’Occident sombre dans l’incompétence et le chaos ; il est dirigé par un groupe de personnes ayant choisi le mensonge et la tromperie comme stratégie de survie évolutive de groupe. Si tel est le cas, ce sont ces mensonges qui leur auraient permis de dominer jusqu’à présent des races plus douées et plus méritantes.
Les grands destructeurs
Maigre consolation, si après tout, les juifs ne sont pas si intelligents qu’ils le prétendent, selon l’auteur juif Maurice Samuels, ils sont vraiment doués pour détruire et reconstruire «au plus près des désirs du cœur»20, selon le mot des Fabiens :
«Nous, les juifs, les destructeurs, nous resterons à jamais les destructeurs. Rien de ce que vous ferez ne répondra à nos besoins et à nos exigences. Nous détruirons toujours parce que nous avons besoin d’un monde à nous, un monde de Dieu, qu’il n’est pas dans votre nature de construire».
On peut voir en direct à Gaza sur presque tous les réseaux sociaux dignes de ce nom, 24/7, comment les juifs aiment détruire et reconstruire au plus près des désirs du cœur. Ils semblent avoir une forte prédisposition pour les bombardements au phosphore, le meurtre des enfants, des femmes et des vieux, le sadisme, la violence, la torture et la cruauté. Demandez aux Russes, ils se souviennent bien de ce que les judéobolcheviques leur ont fait pendant la Terreur rouge. Ils ont assassiné, affamé, torturé à mort et envoyé aux goulags, pour y mourir à petit feu, tous ceux qui les empêchaient de détruire et reconstruire au plus près des désirs du cœur. Trente millions de morts, c’est l’héritage qu’ils ont laissé en Russie21. Il s’agit plutôt de 100 millions de morts si l’on compte le nombre de victimes du communisme en général.22
C’est ce qu’ils ont fait aussi en Allemagne. Le mentor de Churchill, le professeur Fredrick Lindemann23, et ses collègues juifs, les professeurs Solly Zuckerman et Desmond Bernal, sont à l’origine des bombardements en tapis des villes allemandes pendant la guerre, préconisés pour briser l’esprit de la population24. Des centaines de milliers de civils, femmes, enfants et vieillards ont été brûlés vifs par des bombes incendiaires au phosphore. On pense d’abord à Dresde, mais des centaines de villes et de villages ont été détruits à cette occasion. Les infrastructures du pays ayant été détruites, les camps de concentration surpeuplés, remplis de réfugiés fuyant les Soviétiques à l’est, n’étant plus approvisionnés en nourriture, en eau et en médicaments, les détenus sont morts par milliers de faim et de maladie. Lorsque les alliés ont libéré ces camps, ils ont trouvé des piles de cadavres émaciés un peu partout, mais aucun de ces morts n’a été tué par les Allemands, comme les alliés se sont empressés de le prétendre pour des raisons de propagande, ils ont tous été tués indirectement par les accusateurs eux-mêmes.25
La bombe atomique elle-même, le destructeur de tous les destructeurs, était principalement une invention juive. On l’a d’ailleurs appelée la «bombe juive». Jacob Beser, l’individu qui a fait exploser les deux bombes atomiques au-dessus d’Hiroshima et de Nagasaki, à une altitude calculée pour causer la plus grande destruction possible, était juif. Bien que ce bombardement n’ait probablement pas été nécessaire pour gagner la guerre puisque le Japon était prêt à se rendre, Beser n’a jamais exprimé le moindre regret d’avoir tué, probablement pour rien, environ 200 000 milliers de civils. En fait, son seul regret est de ne pas avoir pu faire la même chose avec l’Allemagne.26
Une seule conclusion s’impose : Les juifs sont les plus grands criminels du XXe siècle. Un fait attesté par Ron Unz, rédacteur en chef juif et propriétaire de l’un des principaux sites web conservateurs américains, The Unz Review :
«(…) par habitant, les juifs ont été les plus grands meurtriers de masse du XXe siècle. Et avec une marge énorme, aucune autre nationalité ne s’en rapprochant le moins du monde. Et pourtant, grâce à l’étonnante alchimie d’Hollywood, les plus grands tueurs des cent dernières années ont été magiquement transformés en plus grandes victimes, une transformation si apparemment invraisemblable que les générations futures en resteront sûrement bouche bée».27
Les opinions exprimées dans ce contenu n’engagent que la responsabilité de l’auteur.