Encerclement des trop riches par tous les impôts qu’ils ne paient pas ?

Ce que nous découvrons c’est que rien ne nous sera plus jamais caché en ce domaine. «L’impôt demeure toutefois progressif pour 99,9% des foyers fiscaux». Progressif au sens si rationnel de chacun selon ses moyens, soit plus vous avez plus vous payez à l’effort commun. Vous venez donc de déduire que dans seulement 0,10% des foyers fiscaux rien ne se passe ainsi. L’ampleur du décrochage particulariste SVP ? «Les ultra-riches payent 2% d’impôts, les classes populaires et intermédiaires 50%». Les impôts n’augmentent donc que pour cette énorme majorité et diminuent sans cesse que pour qui n’ont absolument pas besoin de ces baisses injustes. À cause d’eux, tout est donc pire dans ce qui pourrait être un meilleur monde ? Ce qui alarme toujours plus c’est ce constat cinglant : «plus les riches sont riches, plus la croissance économique sera plus faible, voire même carrément négative. Par contre, la croissance économique serait stimulée et soutenue par l’enrichissement des moins nantis et de la classe moyenne». Cette insoutenable situation suicidaire ne peut plus durer. Tous les arguments sont du côté de la Justice fiscale, tous !

Le déroulement entier des arguments va se produire comme ceci :

  1. Les ultra-riches ne payent que 2% d’impôts, les classes populaires et intermédiaires 50%.
  2. «L’impôt demeure toutefois progressif pour 99,9% des foyers fiscaux».
  3. Les impôts n’augmentent que pour les petites classes moyennes et disparaissent de manière quasi… délinquante que pour les trop riches.
  4. Plus les riches sont riches, plus la croissance économique est faible, voire négative ?
  5. Tous les arguments sont bien du côté de la Justice fiscale, tous !
  1. Les ultra-riches payent 2% d’impôts, les classes populaires et intermédiaires paient 50%

«La France n’est pas un «enfer fiscal», mais bien un «paradis fiscal» pour milliardaires selon l’économiste. Ces 370 plus grosses fortunes du pays ne payent quasiment aucun impôt sur la fortune. L’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) a été aboli par Macron et remplacé par l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Mais la plus grande partie du patrimoine des ultra-riches est du patrimoine financier : des titres, des actions ou encore des obligations. Non seulement ces 370 premières fortunes du pays ne payent que… 2% d’impôts, mais leurs multinationales échappent elles aussi à l’impôt. Selon l’OBS, les sociétés du CAC 40 payent en moyenne 4,5% d’impôts. Quand les PME payent 15% à 25% d’impôts».

• Désintox : les ultra-riches payent 2% d’impôts, les classes populaires et intermédiaires 50%

«L’injustice fiscale est plus qu’immense on vous dit : les petits payent gros, les gros payent petit. Les 370 premières fortunes françaises payent 2% d’impôts en moyenne, selon l’économiste Gabriel Zucman»… Et son propos sans équivoque est volontairement très déformé (par le trop malhonnête G20 par exemple), le réduisant à ne faire espérer qu’un minuscule impôt de… 2% pour ces plus riches. Cela qui ne sera évidemment qu’insuffisant. Ces plus riches ? Soit précisément ce 0,10% de «réfractaires» et de si mauvaises volontés, qui refusent sans motif valable, la… constitutionnelle progressivité de l’impôt. Progressivité qui représente bien le socle de la véridique démocratie. Tout ce qui s’écarte de ce socle commun se démasquent, de ce fait, tels ses flagrants ennemis…

Le G 20, comme le G7, avec leurs fausses décisions qui ne vont rester que des effets d’annonces sans suite ne sont pas bienvenus du tout. La réalité insupportable qu’ils veulent cacher c’est bien un des pires actes anti-républicains : que ces 0,10% ne payent que 2% d’impôts, lorsque les classes populaires et intermédiaires paient 50%. Soit, vu l’énormité des sommes, ce qui devient gigantesque, 25 fois plus. Tout en se faisant diffamer et insulter par les pires ennemis de la République. Soit ce 0,10%. La conclusion éclate au grand jour : ce sont bien les pauvres qui soutiennent de toutes leurs épaules la charge complète de la société. Eux seuls peuvent donc la diriger ! Les trop riches ne se sont montrés qu’à batifoler, s’amuser, s’infantiliser, s’irresponsabiliser et n’assumer absolument rien. Leurs mises sur la touche ne lèseront absolument personne !

«C’est que l’injustice fiscale est devenue totale en France : les milliardaires ont des taux d’imposition bien plus faibles que les classes moyennes. Ce n’est pas l’insoumission.fr qui le décrète, mais l’économiste Gabriel Zucman qui le dit. Normalien, thésard de Thomas Piketty à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), enseignant l’économie à la London School of Economics (LSE) puis à l’université de Californie à Berkeley aux États-Unis, lauréat du prix du meilleur jeune économiste de France attribué par Le Monde et le Cercle des économistes en 2018, et tout récent lauréat en 2023 de la médaille John-Bates-Clark, prix décerné chaque année à un économiste de moins de quarante ans «qui a apporté une contribution significative à la pensée et à la connaissance économique».

Toujours selon Gabriel Zucman, «dans le même temps en France, les classes populaires, les classes moyennes, payent 50% de leurs revenus en impôts. En France, le taux de prélèvement obligatoire, c’est 50% du PIB. Les classes populaires, les classes moyennes, payent 50% d’impôts». Même nous à l’insoumission.fr, on s’est piqué en découvrant ce chiffre de 50% d’impôts. On s’est dit que la langue de l’économiste avait peut-être fourché. Mais non. Dans Alternatives Eco, l’économiste confirme : «les classes populaires, les classes moyennes et moyennes supérieures ont un taux d’imposition de l’ordre de 40-50%. Tout le monde paye beaucoup d’impôts en France». Tout le monde ? Sauf une poignée de séparatistes tout en haut.

À tel point que 200 millionnaires, issus de 13 pays différents, demandent à être taxés davantage. Le directeur de l’observatoire européen de la fiscalité salue les progrès effectués avec la mise en place d’une taxation minimum de 15% sur les entreprises, une décision prise sous la houlette de l’OCDE. Mais «15%, c’est bien… trop faible», souligne Gabriel Zucman à France Info».

Voilà où nous en sommes dans le concret objectif. Voulez-vous poursuivre ?
*

  1. «L’impôt demeure toutefois progressif pour 99,9% des foyers fiscaux»

La situation est bien plus saine, honnête, incorruptible et soutenue par le plus grand nombre que les apparences peuvent le faire croire.

Par exemple, revenons aux trop riches et à leurs propagandes si pitoyables ? Que voyons-nous ? Aucun ruissellement, aucuns effets d’entrainements, même l’hyper consommation des trop riches ne bénéficient pas à toute la société. Au contraire. Ce sont juste de monstrueux égoïstes qui étalent leurs complètes irresponsabilités, s’en foutant des conséquences désastreuses de leurs hypers prédations inexcusables sur la société. Toute leur malsaine propagande qui justifierait un effet bienfaisant des trop milliardaires sur la société s’effondre. À la place nous avons l’irruption des nouvelles réalités que nous découvrirons plus loin. En attendant, concluons que ces trop riche restent une lourde charge pour les autres, un coût vraiment abusif, bref ils sont devenus des sur-assistés qui devaient «se débrouiller tout seuls»… et ne le font surtout pas.

• Pourquoi les plus riches paient moins d’impôts que les autres ?

«Les revenus des 75 foyers français les plus riches sont proportionnellement moins imposés que ceux du reste de la population et ne redonnent à l’administration fiscale que… 2% de leur fortune en moyenne, souligne une étude de l’Institut des politiques publiques. Les trop milliardaires ne sont, en effet, imposés qu’à un barème de 26%, en moyenne, contre 46% pour les millionnaires (millionnaires, ceux des gouvernements qui se veulent hypers répressifs). Comment cela est-il possible tandis que l’impôt en France est censé être progressif, en fonction des revenus ?»

Il en ressort que «l’ensemble des impôts personnels reste progressif (note du «traducteur» : proportionnel aux revenus) jusqu’à un niveau élevé de revenu», observent les quatre auteurs de cette note qui se base sur des données de l’année 2016. Mais, paradoxalement, ils constatent tout de même «une forte régressivité (baisse progressive) du taux d’imposition global» une fois franchi le seuil des… 0,1% de Français les plus riches. Le taux global d’imposition chutant de 46% à ce seuil à 26% «parmi les 0,0002% les plus riches».

• Or les impôts sont destinés à financer les services publics. Juridiquement nommés «biens collectifs et services d’intérêt général». Et non se voir illégalement détournés pour enrichir les déjà bien trop enrichis. Pendant que les services publics sont, tout aussi illégalement, abandonnés. Spoliant directement qui les ont toujours financés par leurs forts impôts ! Les dits pauvres…

En même temps, ces trop riches surgissent dans les institutions, à la manière la plus… anti-républicaine possible : leurs illégales ventes des services publics clefs en mains aux clairs escrocs du Privé. Oui comme si c’était une «réPrivée» et non une… réPublique. Publique. Alors que les impôts sont garantis «rester destinés» à payer les Services publics. Que la Constitution même confirme que «le but des impôts» c’est que tout citoyen ait «la même égalité devant le service public. Ce qui signifie que toute personne a un égal accès aux services publics». Pour cela il faut absolument que les Services publics existent. Et ne soient pas détruits par ces évidents «ennemis de la République» qui s’accrochent illégitimement au pouvoir sans en avoir le droit.

Donc : «Les «extrêmes» disparités fiscales sont un poison pour la cohésion de tous les pays». Les factieux au pouvoir les semeurs de troubles, les grands perturbateurs actuels restent ceux qui refusent irrationnellement de revenir à la progressivité de l’impôt. À chacun selon ses moyens. Sa femme de ménage, au Plus riche des trop milliardaires, paie bien PLUS d’impôt que lui. Qui font semblant de pas… apercevoir cette gigantesque injustice. Injustices qui les rendent les clairs ennemis de l’Humanité.

Encerclement des trop riches par tous les impôts qu’ils ne paient pas ?

  1. Les impôts n’augmentent que pour les petites classes moyennes et disparaissent de manière quasi… délinquante pour les bien trop riches

Oui des manières les plus… délinquantes : voir les ricanements voyous des prétendues «optimisations» fiscales. Lorsque la réalité nous dénude qu’il n’y a aucune … optimisation. Mais bien une insupportable diminution, réduction, perte nette pour le fisc. Fisc donc insulté de partout. Et que ces personnages se foutent cyniquement de sa gueule, au Fisc, en lui faisant les poches au grand jour. Tout y ajoutant toutes les tartuferies possibles !

• francetvinfo.fr/impots-ipp-linh-lan-corrigé

«C’est d’abord une faillite de l’impôt sur le revenu, normalement pierre angulaire de la progressivité fiscale. Pour les personnes disposant d’un patrimoine élevé, il est facile de structurer leur fortune afin qu’elle génère… peu de revenus imposables. On a longtemps, piteusement, ignoré l’ampleur du phénomène, mais plusieurs études récentes ont permis de le quantifier : l’évitement volontaire et récidiviste de l’impôt sur le revenu par les plus grandes fortunes est massif et systématique». Voyons, maintenant, pourquoi ceci est si insupportable pour la société. Parce que ces trop riches nuisent concrètement à l’économie globale. Dit autrement, ce sont eux qui ruinent les pays. Ceci se passe ainsi :

  1. Plus les riches sont riches, plus la croissance économique est faible, voire négative ?

«Dans une nouvelle étude sur les causes et les conséquences des inégalités, cinq économistes du Fonds monétaire international (FMI) concluent que plus les riches sont riches, plus la croissance économique sera faible, voire même carrément négative à moyen terme. La croissance économique serait plutôt stimulée et soutenue par l’enrichissement des moins nantis et de la classe moyenne». Soit tout le contraire des propagandes indignes des trop riches ?

La réponse qui résout vraiment tout attaque en 3 points…

1) Les flagrants avantages à taxer plus et mieux ? «Selon cette étude états-unienne des impôts plus faibles pour le 1% le plus riche ne font que les encourager à… se négocier de meilleures rémunérations, sans offrir en échange… plus de temps de travail ou de productivité. Cela semble être le cas pour les médecins spécialistes québécois, estime le chercheur Damien Contandriopoulos, qui soutient que la productivité des médecins québécois recule, alors que leurs revenus augmentent».

2) L’idée de très arriérés que les rémunérations élevées «résulteraient du mérite» se casse bruyamment la gueule. Puisque ; «le niveau d’éducation et le talent n’ont vraiment pas augmenté de 62% entre 1998 et 2012, et que l’effort n’est pas le monopole d’une minorité de travailleurs riches. Un billet précédent a d’ailleurs déjà mis à mal ce mythe nuisible si persistant». Par contre la trop dégradante voracité alliée avec d’abyssales stupidités, oui. Est- on capables de transcender des «plus +62% points d’évolutions en 14 ans» en étant «effondrés» comme eux ? que non point – sinon nous serions tous des sur-sur-sur hommes et le travail même ne serait plus nécessaire. Alors s’octroyer du «plus +62% points d’évolutions» pour son seul revenu cela dépasse l’escroquerie. C’est un abus de «position dominante» qui appelle droitement la chute !

3) Le faux argument selon lequel l’explosion des rémunérations élevées résulterait du mérite vient uniquement de lâches et de piteux feignasses ! Preuve ? «Il est souvent mis en avant pour décourager toute redistribution fiscale. Pourtant, les résultats empiriques sont clairs à cet effet : oui, les mieux nantis ajustent leurs revenus face à une hausse d’impôt, mais le plus souvent, cela se traduit par un… minable réaménagement de la structure de leurs revenus de façon à optimiser leurs déclarations fiscales en vue de ne pas augmenter les montants effectivement versés à l’État»… Soit cette idée de voyous vulgaires «contraint» les trop riches à si mal se comporter, à demeurer connement si aveuglés d’idées fausses et à n’agir qu’en massifiant le mal contre tout le monde !
*

  1. Tous les arguments sont du côté de la Justice fiscale, tous !

Lorsque le tout contraire (bénéfique devient de taxer les obtus trop riches !!) obtient de très BONS résultats : «Il y a donc de la place pour redistribuer davantage les revenus afin de rééquilibrer les gains de la croissance économique». Développons donc ce bénéfique futur :

«Dans une nouvelle étude sur les causes et les conséquences des inégalités, cinq économistes du Fonds monétaire international (FMI) ont conclu fortement que plus les riches sont riches, plus la croissance économique sera très faible, voire même uniment négative. La croissance économique serait alors stimulée et soutenue par l’enrichissement des moins nantis et de la classe moyenne.

• Pourquoi il faut taxer davantage les riches ?

Ces chercheurs du FMI soutiennent que l’impôt peut et doit faire partie des solutions pour réduire les inégalités :

Le rôle redistributif des politiques fiscales pourrait être renforcé par un recours accru à l’impôt sur la fortune et sur les impôts fonciers, par un impôt sur le revenu plus progressif, et par la suppression des échappatoires permettant l’évasion fiscale (p.30, traduction libre)».

Mieux ?? «Si le système fiscal ne permettait pas… d’éviter de payer l’impôt, les mieux nantis paieraient tout simplement davantage. Ils ne travailleraient pas moins et ne seraient pas… moins créatifs ou innovateurs». Seuls de très médiocres peuvent dire l’inverse. Et le règne des médiocrités vient justement de finir ! Bien mieux encore ? : «Confirmant cette intuition, selon laquelle des taxes élevées peuvent… coexister avec une croissance soutenue, le taux optimal de taxation du centile le plus riche se situerait à 80% (!), selon une étude américaine états-unienne». et pas à… 2% !!!

Si même les états-uniens disent qu’il faille taxer plus bien plus les trop riches pour sortir définitivement de la mélasse des médiocres ?

• blog.insee/impots prestations sociales services publics qui paie quoi et qui bénéficie de combien

«L’impôt est d’abord un prélèvement opéré par la puissance publique destiné à financer des biens collectifs et services d’intérêt général (soit les services publics). En ce sens, sa fonction première est à visée universelle comme l’est l’accès au service public (fonction toute première, ne l’oublions plus). Or le peu licite macronisme c’est détruire les services publics pour transférer toujours illégalement ces ressources vers la trop minorité des trop riches, qui usurpent les services au public ??? Et perd, en chemin, toute utilité de l’impôt. Chacun bénéficie du produit de l’impôt (Or si 5 personnes «valent» plus que 27 millions il n’y plus d’utilité de l’impôt plus aucune du tout… Oui si la trahison fiscale reste acceptée !). 5 et 27 millions ; qu’est-ce ? Vous dites-vous. C’est juste une autre étude qui amène que, en France, les 5 plus riches du pays ont «autant» que 27 millions de vrais français. La gigantesque injustice nationale ne peut plus dissimuler sa trop sale gueule !

«Pour autant, être à visée universelle ne signifie pas se trouver dépourvu de vertus redistributives. Les revenus des individus sont affectés positivement par les prestations plus ou moins importantes que leur versent les administrations publiques en fonction de leur situation, et négativement par les prélèvements de toute nature dont ils s’acquittent en fonction de leurs revenus (cette partie du «à chacun de payer selon ses moyens, selon ses revenus précis», reste très, trop, bafouée : optimisation fiscale = insulte sauvage au fisc = car c’est déloyalement payer MOINS d’impôts alors qu’ils restent légalement dus !).

Au-delà de l’accès PUBLIC à la santé, à l’éducation, aux équipements publics, qui sont des objectifs en soi, savoir quels sont les effets redistributifs des transferts opérés à travers l’action publique est une question légitime que statisticiens et économistes se sont attachés à documenter de longue date. Elle connaît un regain d’actualité dans un contexte de montée des inégalités au sein des nations, et donc de réflexion sur les instruments publics pour y faire face.

Pour mesurer la redistribution élargie, il s’agit de s’appuyer, pour la ventilation des revenus et des transferts, sur l’enquête Revenus fiscaux et sociaux et des imputations du modèle open source Ines, développé par l’Insee et la Drees, complétée par des données notamment relatives aux dépenses de santé et d’éducation ou aux transferts intrafamiliaux. Il s’agit, à ce stade, d’une démarche exploratoire destinée à éclairer les potentialités de l’outil et leur apport au débat public. Des résultats consolidés donneront lieu à d’autres publications, et notamment s’agissant de l’Insee à un dossier de l’Insee Références sur les revenus et le patrimoine des ménages à paraître d’ici l’été 2021». Tout ceci reste donc déjà disponible pour les «vrais» dirigeants !

«Dans les résultats portant sur 2016 présentés dans le rapport, les 10% les plus aisés reçoivent 30,1% du revenu national tandis que les 30% les plus modestes reçoivent 10,7% du revenu national. Les 10% les plus modestes sont destinataires de 2,1% du revenu national, soit un rapport de 1 à 14 avec les 10% les plus aisés». Scandale des scandales : les plus pauvres peuvent recevoir 14 FOIS MOINS que les imméritoires trop riches ???

Après application des effets redistributifs (sic et resic) des transferts, versés comme reçus, y compris donc en intégrant une valorisation monétaire des services rendus par les administrations publiques, les 10% les plus aisés reçoivent 19,9% du revenu national contre… 6,4% pour les 10% en bas de l’échelle, soit, ici, un ratio inter-décile de 3»… Et ils continuent de nommer ces aberrations la… redistribution équitable ?

La REDISTRIBUTION exigée par la Constitution aggrave gravement donc toutes les inégalités. Pourquoi le plus riche reçoit PLUS alors que l’impôt est prévu afin que cette aberration n’existe plus ? Bingo ; parce que «les illégalement riches» ne paient pas leurs impôts dus, et volent directement le Fisc. Ne pas payer ses dettes (ses impôts dont c’est le devoir (la dette) de les payer (ils sont et restent «dus» (du verbe… devoir !). C’est bien du grand banditisme, du braquage des trop riches de voler à la source, au moins, 4 FOIS PLUS que les autres. Et d’utiliser ensuite cette masse hyper volée pour persécuter les autres. Prison donc géométrique au bout : ce sont des 8 16 32 64 128 fois plus que vous devriez faire de prison prise au piège. Merci de ces renseignements si limpides !

La vraie loi a toujours raison. Et seront à jamais… rétroactives, les réparations par saisines des prélèvements illicites. Prélèvements illicites effectués unilatéralement par le scandaleux privé.

• conseil-constitutionnel.fr/nouveaux-cahiers-du-conseil-constitutionnel/Constitution-et-service-public

«D’un côté, c’est l’évidence, le service public constitue une des notions fondamentales du droit administratif et d’un autre côté, la Constitution, et, surtout, les décisions qui l’ont interprétée et complétée, enrichissent toujours plus les bases constitutionnelles du droit administratif. Qu’il s’agisse de la commande publique, de la domanialité publique, du droit des collectivités locales et même de la juridiction administrative, plus aucune notion, institution, technique du droit administratif n’échappe à ce mouvement de constitutionnalisation».

Les services publics enrichissent toujours plus

… les bases constitutionnelles du droit administratif.

Tout reste donc infiniment Constitutionnel dans la progressivité de l’impôt…

Avant l’été dissous, il paraît que certains ne l’avaient pas clairement compris ? Voici qui se prouve énergiquement fait !

Tout arrive, vous voyez bien !

(à suivre)

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