L’hyper-centralisme vertical aux mains des pires inégalitarismes : les dommages spécifiques à la France ?

Paris Et «la» province. 4 mots, 4 gigantesques mensonges. Paris avec majuscule, province avec minuscule, ne décrit certainement pas la réalité géographique et mathématique du pays mais Trahit juste la somme colossale des préjugés parisianistes. Ces préjugés les jugent : Paris avec majuscule prend toute la place, se hausse du gosier, se montre particulièrement antidémocratique. Province minuscule c’est exactement le coup du Tiers Monde – faire passer les Trois Quart de l’humanité pour un infime tiers minoritaire. Un tiers ça s’exclut, c’est supposé tout petit, ça se glisse dans un coin, ça s’oublie, ça ne participe pas au partage… etc. Bref, ça appartient aux procédés d’évitement du réel. Province sonne alors comme un cinglant évince.

Le phrasé Paris et province nous induit à nous préoccuper de leur impossible participation à l’objectivité des Sciences, de leurs malhonnêtetés intellectuelles nettes face au Droit, comme de leurs incapacités à vivre en vraie Société, ainsi que de leurs notoires sécheresses affectives. De toutes ces valeurs ils se verraient actuellement disqualifiés. D’autant que les mots les Trahissent encore plus. Paris Et la province ? Pourquoi ? Nous ne sommes pas du même pays ? Qui, alors, qui est l’étranger de l’autre dans l’affaire ?

Cette addition syntaxique (et) oppose, sépare les deux termes l’un de l’autre, place le glacial nous ne sommes pas du même monde entre les deux entités inassimilables : paris reste dans son île, Ile-de-France, à rêvasser du «Tout pour moi et rien pour les autres» d’Adam Smith. Tandis que le vaisseau France poursuit sur l’océan intégral du monde.

Toute logique a fui ces bas préjugés de surplomb puisque paris et LA province. LA Province : 4ème mensonge ! ! Pourquoi il n’y en a qu’une seule, et alors laquelle ? L’indifférencié «la» province démontre juste, est la preuve juridique de la totale indifférence du proférateur. Qui met tout dans le même sac d’abandons signe sa totale indifférence devant chaque élément de cet ensemble, et signe ainsi qu’il n’en aime aucun. Qu’il lui indiffère littéralement le sort du pays pourvu qu’il demeure dans son illusoire surplomb. Tout pour les flatteurs qui l’opiumisent de sa prétendue supériorité. Mais, trop tard, lorsque tout est à nu, impossible de fourguer à un bouc émissaire quelconque. Personne n’avait ordonné aux arriérés parisianistes de dire Paris ET «la» province : c’est leur seul inconscient d’indignes qui les a trahi. Ils n’aiment pas la France, fourrée toute dans la même mise à distance pétrifiante. Toute personne normale articule LES provinces pas LA province. Voyons ! Ah que n’avaient-ils pas dit Paris ET les Régions, il eût été plus difficile d’établir l’avidité aveuglée du «Tout pour moi et rien pour les autres» qui défaille toujours Grâce aux mots. Oui 4 mots, 4 immenses mensonges. Sans eux ils sont tout nus et c’est si hideux à voir…

Avant d’arriver à la vue plongeante vers les tragiques conséquences de cet – si contre-nature – hyper-centralisme vertical. Que n’assument surtout pas les «parisianistes», gavés de lâchetés, d’avoir autant ruiné ce grand pays. Oui avant, juste 2 petits «sas de décompressions» : dont l’hyper-centralisme vertical de Paris, vu par d’autres pays. Qui se positionnent contre l’anachronisme aberrant des trop milliardaires français, qui, contre tout le rationnel existant, ne paient quasiment AUCUN impôt. À la différence notoire des U.S.A. Et, aussi, ces tellement craintifs refus des résultats des élections (vu que, par la seule «valeur personnelle», et dans la complète honnêteté des chiffres et des arguments, ces chétifs manœuvriers ne pourraient jamais «gagner» les élections !)

En 1, le trou blanc des bizarres «pertes sèches de mémoire» des occidentaux sur la vérité la plus importante de l’Histoire de l’Humanité : soit que nous sommes tous «parents», apparentés quoi, en tant que cousines et cousins ou sœurs et frères. Et tous les enchainements, ajoutés aux 10 commandements (dont tu ne tueras point – tu ne voleras pas tes voisins… ne les diffameras… etc. !). Oui, actuellement, les petits dictateurs européens ont tout faux de faux. Se rappeler que ce texte complète le précédent : «Comment les fausses élites actuelles ne deviendront jamais des élites ?»

  1. Les humains commencent à se répandre sur Terre, il y a 70 000 ans !

Environ 70 000 ans, c’est le temps qu’il a fallu à nos ancêtres «communs», partis de l’Afrique de l’Est, où ils sont nés. Pour se répandre, très lentement, en Europe en Asie puis, enfin, en Amériques par le détroit de Béring encore accessible…

Nous-partageons-tous-les-mêmes-ancêtres

À ce point, ce qui est délicieux ici (avant dernier acte ou «comment sont, à 100 pour cent, ridiculisés les faux dirigeants occidentaux ?»)… c’est l’élégance des mathématiques ! Voyez : vous «voulez» des ancêtres «séparés», privatisés, vivant comme des brutes à part, en anti-sociaux brutaux, des ancêtres monopolisés ? Eh bien, arrivés à Charlemagne, cela vous fait 16 milliards d’ancêtres rien qu’à vous. Oui 16 000 000 000. Et vous aussi, nous, eux Vous, avez le «droit (sic)» à «vos» ancêtres = 16 milliards d’ancêtres en plus. Pleins de 16 milliards d’ancêtres encore, etc. Sauf que la Terre est trop petite pour supporter cette immense foule de la «bêtise» occidentale !

Puisque ? Au concret nous aurions beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup d’ancêtres privatisés et très peu d’humains aujourd’hui ? Or ? Bingo c’est tout l’INVERSE, nous sommes beaucoup en 2025 (quasi 8 milliards !), et les ancêtres très peu nombreux (une dizaine, à peine un peu plus ?). Tout revient à l’endroit !

Les maths nous «libèrent» donc des préjugés incohérents des sommets – trop négationnistes du simple «nous sommes tous apparentés». Sauf qu’ils se voient, là, emportés par le tsunami de leurs immenses… ridicules. Ridés de ridicules, oui nous sommes tous cousins ou/ frères. De quoi les «obliger» à se transformer à 100%. Et nous pas, hein Cousin !!! L’économie des moyens dépasse l’entendement, tu entends ? Musiiiiiques…

Musiiiiiques puisque la si implacable conclusion apaise tout : nos très peu d’ancêtres sont tous «communs», les mêmes pour tous. Et non pas «séparés», privatisés, chacun son sien. Les racismes sont seulement pour les archis cons : nous sommes de la même famille. Il n’y a qu’une ! Le «nuage statistique» ne permet pas de dessiner des races «étanches et séparées», la continuation statistique rassemble bien le tout dans «l’ensemble uni» de la «même» famille… Les différences apparentes ne comptent pas du tout devant ce qui nous ressemble tous ! Laissez donc vos cœurs tout rassembler.

Oui nous sommes tous parents et de la même famille. Frères et sœurs. À la limite, tantes ou cousins. Comme disent les Nord africains, avec préscience lorsqu’ils vous parlent… comme «cousins»…

Puisque l’incroyable information reste : jamais les Occidentaux ne pourront appartenir à l’Humanité. Qu’ils ont tant persécutée tous ces siècles. Grands perdants ils sont !

L’Humanité leur est fermée à tout jamais… et renaissent les liesses qui nous lient, mais sans eux !

  1. L’Europe qui ne peut plus s’expliquer ? Elle a, trop distraitement, égarée sa propre sacrosainte «liberté d’expression»

Un-tsunami-nommé-Vance

«Le vice-président états-unien J.D. Vance a fustigé les politiciens traditionnels de l’UE pour avoir adopté un «vocabulaire de style soviétique» afin de réprimer la dissidence. Dans une interview au Wall Street Journal publiée jeudi, Vance a critiqué les élites (sic) de l’UE pour leur incapacité à reconnaître l’écart grandissant entre leurs opinions et celles des citoyens ordinaires sur des questions telles que l’immigration.

«Plutôt que de relever courageusement ces défis, a-t-il affirmé, ils préfèrent censurer les voix opposées, en présentant cela comme une lutte contre «la désinformation ou la mésinformation»». (soit la plus pitoyable négation de la vraie liberté d’expression !). Pire, J.D. Vance houspille «ces faux politiciens» qui fuient les résultats des élections, qui les magouillent de terreurs pures, et qui restent si incapables de prouver leurs valeurs «personnelles» en restant dans les règles de l’Honnêteté saine. Bref, qui n’ont même pas le courage de faire face aux populations qui – massivement – les désavouent. Va falloir pourtant !!!

«Qui pourrait s’étonner, – mais plus rien ne nous étonne, à la fin ! – d’entendre l’énorme monstre orange féliciter à 8000 kilomètres de là son vice-président pour ses remarques insensées (?) :

«J’ai pensé que son discours avait été très bien reçu, en fait. J’ai entendu de très bonnes remarques. Je suis content qu’il l’ait prononcé – J’ai entendu son discours et il a parlé de la liberté d’expression et je pense que c’est vrai. En Europe, ils… perdent leur merveilleux droit à la liberté d’expression».

Effarées, les zombies-élites ne comprennent pas (trop courts courtisans ?). Alors, elles gémissent comme des victimes injustement traitées, qui firent tout leur labeur d’esclaves avec tant de mauvaise conscience». Exit sans faille non ?

  1. Les temps nouveaux ?

Une verticalité complète aussi des évènements a bien cours.

C’est que l’hyper-centralisme français représente une si incroyable anomalie. Un aberrant béant anachronisme… Toute l’Europe est fédéraliste. Et même dans les pays encore centrisés, les contrepoids sont forts. Les «communautés autonomes», en Espagne, peuvent voter sur de nombreux thèmes. Décider pour leur vie locale. En France, c’est tout, oui tout n’est que pour Paris, il n’y a aucun équilibre. Les Régions «infantilisées» sont traitées comme si elles étaient mises sous tutelles. Leurs impacts de décisions sont plus que déficients. Ce qui aboutit ? En grossissant le trait, en France, un homme seul peut stopper le pays, le ruiner, détruire les institutions, abêtir la population, nuire gravement aux enfants : il n’y aucun frein pour l’empêcher de nuire ! C’est du tout droit dans le mur. Un pays qui peut vraiment se suicider vient de cet hyper-dément-centralisme.

Bien trop loin des saines décentralisations !!!

Regardez quelques autres pays, modèles de décentralisations fédérées. Vous avez Rotterdam – économie – La Haye – politique – et Amsterdam – culturel. Pour les Pays Bas.

Pour l’Allemagne, Francfort – économie – Bonn – politique – Berlin– le culturel. L’Italie c’est Milan et Rome, l’économique éloigné du culturel ! etc.

L’hyper-centralisme vertical parisien, lui, ne convient plus du tout au monde nouveau qui émerge. C’est un si encombrant cheveu sur la soupe. N’y existent plus que des mouvements descendants «d’aveugles tyrannies». Et plus aucun moyen adulte et sérieux de connaitre et reconnaitre les populations. Les faux politiciens y font semblant de gouverner – mais sans le peuple. Et, là, ces si faux politiciens ne font plus semblant de rester sourds et aveugles à toutes les réalités. Ils ne sont plus, désormais, que les titubants zombies de leurs uniques pré-jugés !…

Ignorant même que nous sommes tous parents, ayant les mêmes ancêtres. Grande famille que nous déclinons tous comme cousines et cousins ! Et

Va bien falloir en tirer les enseignements !

Ces faux dirigeants ne sont plus de ce monde concret, devenus inaccessibles à toute raison pratique comme à tous les raisonnements les plus tangibles. Out et knock… out !!!

C’est que la France – les Parisianistes, bien évidemment, ne participeraient pas à la Constituante – va nous mitonner un pays de libertés, d’égalités et de si sororités et fraternités. Soit un véritable pays décentralisé fédéré (les «fédérés» fut le nom précis des révolutionnaires de 1789 !).

Soit plus de capitale «bloquante», par le fait qu’il y en ait 3. Plus une capitale mais trois capitales.

Le tout à peaufiner, ajuster, emboiter au meilleur du possible.

Nous aurions (temporairement, passages des savoirs et fonctionnements) Paris-Bercy – économie – Toulouse ou Marseille, etc. – politique – et Bourges ou autres– culturel !!!

Alors, va se dresser la Grande France enfin retrouvée.

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