Imaginez un coffre scellé, rempli d’or. Interdit d’y toucher. Mais, curieusement, ce coffre produit des pièces tout seul, comme par miracle. Et ces pièces, elles, peuvent être dépensées. Voilà le tour de passe-passe génial qui permet aujourd’hui à l’Europe de financer une guerre qu’elle ne peut ni justifier, ni gagner, ni arrêter.
L’Europe et l’Occident ont trouvé le cheat code ultime de la guerre éternelle : faire la guerre avec de l’argent qui n’existe pas, pour enrichir ceux qui la fabriquent, et regarder le monde brûler avec un air satisfait. 210 milliards d’euros d’avoirs russes gelés ? Interdiction d’y toucher ! Mais les intérêts qu’ils génèrent – 3 milliards par an – peuvent, eux, être dépensés.
Voilà donc la recette miracle : ne pas piller l’argent directement, juste récolter ce qu’il produit. Comme un arbre qui donnerait des fruits empoisonnés qu’on s’empresse de vendre, tout en jurant, la main sur le cœur, qu’on ne touche pas au tronc. Les Européens inventent la rente de guerre éthique, ce miracle comptable de la religion rothschildienne où l’on peut financer des missiles sans jamais avouer qu’on envoie des bombes avec de l’oseille créée à partir du néant.
Mais Dieu a déjà désigné ces fauteurs de troubles, ces illusionnistes de l’économie, à l’instar des magiciens de Pharaon et de leurs faux serpents, ces parasites qui créent de l’argent ex nihilo pour mieux s’enrichir sur la mort des autres :
«Ô les croyants ! Craignez Allah et renoncez au reliquat de l’intérêt usuraire, si vous êtes croyants. Et si vous ne le faites pas, alors recevez l’annonce d’une guerre de la part d’Allah et de Son Messager.» (Sourate Al-Baqara, 2:278-279)
Cette menace n’est pas formulée au hasard, ni pour l’effet de style. Elle est adressée à toute l’humanité, aux individus comme aux sociétés, en tout temps et jusqu’à la fin des temps. L’usure est le vol systématique, la spoliation organisée, la plus sournoise des prédations, celle qui détruit les peuples sans qu’ils s’en rendent compte. Combien l’ont compris ? Trop peu. L’Occident a choisi son camp : celui de l’usure, de l’argent magique et du désordre total.
On prétend armer Kiev avec les miettes d’une fortune qu’on s’interdit hypocritement de toucher. Un tour de passe-passe comptable où l’on fait semblant de respecter des principes tout en alimentant un conflit sans issue. C’est l’élégance perverse des agents du N.O.M, financer la guerre avec de l’argent qui n’existe pas, acheter des armes avec du vide, et s’extasier devant cette illusion comme si elle avait un sens.
Le serpent qui se mord la queue, qui mord sa propre mort. On tourne en rond, on recycle des milliards fantômes pour prolonger un combat déjà perdu, on alimente la destruction en prétendant œuvrer pour la paix, et à force de se dévorer lui-même, le monstre ne produit plus rien, sinon sa propre fin.
Et au bout du compte, qui gagne ? Certainement pas l’Ukraine, ce cloaque immoral, carrefour de toutes les diableries et corruptions, un pays dont l’immense majorité de l’humanité n’a absolument rien à faire. Disons-le clairement : elle n’en a jamais rien eu à foutre. L’Europe encore moins, elle qui se condamne à un conflit qu’elle ne pourra ni gérer, ni assumer.
Les seuls qui tirent – ou plutôt plantent – leur épingle du jeu (vaudou, bien enfoncée dans la poupée du Moyen-Oriental), ce sont les fabricants d’armes mondialistes, qui encaissent ces milliards tombés du ciel en se frottant les mains. On injecte du vide dans une économie déjà endettée jusqu’à l’os, pour que les missiles explosent bien comme il faut.
Pendant ce temps, le Français moyen, déjà étranglé entre l’inflation et l’effondrement des services publics, continue d’entendre que les caisses sont vides. Pas d’argent pour les hôpitaux. Pas d’argent pour les retraites. Pas d’argent pour rien… Sauf pour une guerre qui n’est pas la nôtre, qui n’a pas de fin, et dont les conséquences nous exploseront à la figure tôt ou tard.
Faut-il aussi mentionner les 109 milliards d’euros – dont une part non négligeable payée par la Fronce – pour un plan européen sur l’intelligence artificielle ? Ou encore les 800 milliards engloutis dans un bouclier nucléaire ? Un projet tout aussi fictif que l’argent qui le finance, basé sur des promesses aussi solides qu’un mirage. Mais quel est le projet, au juste ?
Prendre de l’argent qui n’existe pas, à une entité qui n’a jamais existé, pour financer des programmes qui ne servent personne, que personne n’a demandés, et qui ne profitent ni aux nations, ni aux sociétés, ni même à ceux qui les mettent en place ? L’Europe a-t-elle sombré dans la folie pure ?
Sommes-nous dirigés par des entités schizophréniques et sataniques, destructrices, animées par une obsession maladive pour le désordre absolu et la mort ?
La réponse est dans la question.
Ils créent l’argent comme le Seigneur crée la vie. Mais au lieu de nourrir, ils affament. Au lieu d’élever, ils détruisent. Ils singent le pouvoir divin avec la bêtise arrogante de ceux qui se croient au-dessus des lois naturelles. Ce ne sont pas les héritiers de Dieu, mais Ses singes.
Les singes de Dieu, ce sont ceux qui imitent maladroitement le divin, croyant en reproduire la grandeur alors qu’ils n’en sont que la contrefaçon pathétique. Mais ici, on est encore plus bas : ce ne sont pas les singes de Dieu, mais ceux de Satan.
Des macaques, pour être précis. Des contrefaçons. Des guignols en costard qui impriment de l’argent pour acheter des bombes et qui se prennent pour les maîtres du monde.
Les macaques de Satan. Les fauteurs de trouble, les oppresseurs, ceux qui appuient sur les boutons en espérant que les autres meurent avant eux. Ce ne sont pas des imitateurs, mais des serviteurs. Et ils savent très bien qui ils servent.